En dépit des appels insistants de Washington, Londres et Paris ont décidé de reporter l’examen de la question sur des sanctions à adopter contre Damas au Conseil de sécurité des Nations unies jusqu’à l’entrée en fonction du futur président des États-Unis Donald Trump.
En décembre, quelques semaines à peine avant la cérémonie d'investiture du président américain élu Donald Trump, les principaux conseillers pour la sécurité de Barack Obama se préparaient à une bataille finale avec la Russie sur la scène internationale, peut-on lire dans le magazine en ligne américain Foreign Policy.
Suite: Les alliés des USA empêchent Obama de frapper une dernière fois la Russie
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